GUERIDON LEZARDS sur le principe ESCHER

Guéridon style Escher lézards Guéridon style Escher lézards


Guéridon dans le style des lézards de Escher.
Dimension 60 max, hauteur 76.

Pour en comprendre le dessin bien connu, il faut comprendre le mécanisme de dessin : Le plus simple est de partir sur un héxagone parfait, puis de redessiner les pièces comme indiqué sur le dessin ci-dessous. Le style est donc logiquement un héxagone, d'où la forme de cette table, et le fond des ... héxagones ... aussi !
Les lézards sont taillés dans une dizaine de faiences du blanc au bleu, et certains lézards coupés traversent dans le sens des autres de la même couleur ... sauf un !
C'est la devinette du guéridon !
La signature est en tubes de cuivre, et lames de scie ayant servi au chantournage.

DISPONIBLE : 700 EUROS.

Guéridon lézards Guéridon lézards

Les lézards, entre autre, sont une technique de géométrie sur laquelle Maurits Cornelis Escher, artiste et mathématicien hollandais, et d'autres depuis, ont travaillé.
Au départ, l'idée est de dessiner une figure géométrique simple, triangle, carré, losange, héxagone, puis de faire en sorte que les pièces toutes identiques dans notre exemple.
Le dessin consiste a dessiner une pièce, exemple la tête rose, et de reporter la même pièce avec un angle de 120 degrés.
De même pour la bleue claire. etc ... Ainsi chaque lézard va s'assembler dans son voisin, avec 120 degrés de rotation.

Les lézards ont été découpés en suivant un calibre, ayant été lui même taillé dans deuc pieces de bois superposées. On a pu essayer ainsi que deux lézards consécutifs s'encastrent parfaitement.
Le principe est le même pour d'autres figures, en partant d'autres bases, et je conseille un site très complet à propos de ces pavages, ou tessellations :


Voir site de Alain NICOLAS




Guéridon lézards Guéridon lézards


10 sortes de faïences ont été nécessaires pour découper 19 + 6 = 25 lézards, et le fond composé de 140 héxagones a été découpé dans une autre faïence neutre et mate.
La totalité des morceaux a été disposée à l'envers, les découpes étant toutes légèrement coniques, afin de bien épouser le mortier et le béton coulé ensuite.
On retrouve ici la technique typique du zellige expliquée dans une autre page de ce site.

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